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Pages Savoir > Lutte contre l'obscurantisme > Pandémie de COVID-19 et incurie sanitaire française...
Voir aussi la page "Services en ligne du web non globalisé" > Suivi statistique de la pandémie de COVID-19
3e décennie du 21esiècle en pays riche – les faits sont têtus : en plus de casser le système de santé,
depuis 2020, l'état français tue en favorisant l'épidémie de COVID-19 : N'acceptons pas l’inacceptable !
Cette page fait partie de la catégorie "Lutte contre l'obscurantisme" sous toutes ses formes. Ses objectifs sont :
Dernière mise à jour : 02/09/2022 08:49 (voir les différences)
En France, une chercheuse renommée pour ses travaux s'est exprimée en vain dans les quelques médias qui acceptaient de la recevoir, pour critiquer, du point de vue scientifique, la stupidité des non-décisions et des mesurettes sanitaires soit-disant prises contre l'épidémie de COVID-19. La lanceuse d'alerte Catherine Hill est épidémiologiste biostatisticienne, et jeune retraitée de l'institut Gustave-Roussy. Elle est un petit peu connue du grand public pour avoir assisté la lanceuse d'alerte Irène Frachon dans l'affaire du Mediator, et pour son militantisme contre les ennemis de la science et du progrès, notamment avec l'Association Française pour l'Information Scientifique : afis.org > Catherine Hill.
Catherine Hill a pointé le fait que les statistiques françaises des cas positifs de COVID-19 ont toujours été faux et sous-estimés, car non basés sur des tests massifs obligatoires de toute la population (en période de confinement), ou à défaut sur des sondages aléatoires de la population réalisés avec l'aide d'instituts de sondage dont c'est le métier (comme ce fut le cas au Royaume-Uni). En 2020, elle a réclamé sans relâche et en vain que soient effectués des tests massifs par des prélèvements groupés obligatoires de toute la population, afin de pouvoir isoler toutes les personnes porteuses du virus SARS-CoV-2, symptomatiques ou pas. Elle a dénoncé en vain la politique anti-scientifique et criminelle du "vivre (et mourir) avec le virus". Elle a réclamé en vain que la technique de détection virale par analyse des eaux usées (Réseau Obépine) soit massivement utilisée pour savoir quel quartier il fallait mettre en quarantaine plutôt qu'un autre. Elle a dénoncé en vain les contaminations orchestrées au niveau des écoles par l'état français, qui n'a pas fourni les capteurs que le Haut Conseil de la Santé Publique préconisait pourtant depuis le 22/10/2020, et surtout depuis son avis du 03/05/2021 expliquant qu'"Une concentration en CO2 supérieure à un seuil de 800 PPM doit conduire dans tous les cas à ne pas occuper la salle et à agir en termes d’aération/renouvellement d’air et/ou de réduction du nombre de personnes admises dans les locaux d’un Établissement Recevant du Public".
À partir de janvier 2021, les autorités politiques françaises ont commencé à mener des campagnes de vaccination anti-COVID-19 (pour lesquelles elles justifiaient leur attentisme de l'année précédente). Catherine Hill a donc pris acte que l'ancienne stratégie "business as usual / vivre (et mourir) avec le virus" + "wait and see" était remplacée par une stratégie de fuite en avant "business as usual / vivre (et mourir) avec le virus" + "tout miser sur la vaccination anti-COVID-19", malgré qu'environ 15% de la population française insuffisamment éduquée soit activement sceptique ou franchement opposée à cette thérapeutique expérimentée sur l'Homme depuis la fin du 18e siècle. Elle a dénoncé les lenteurs des premières campagnes de vaccinations. Elle dénonce l'abandon vaccinal de toute une frange de la population, souvent pauvre, souvent rurale, et souvent âgée, et réclame que la santé publique aille pro-activement au contact de ces personnes. Elle dénonce l'abandon criminel des gestes barrières sur un territoire dont la couverture vaccinale contre le virus SARS-CoV-2 est très insuffisante. Elle dénonce le déni officiel des morts occasionnés par la politique scélérate qui est menée.
L'étiquette réductrice d'"alarmiste" a été associée à Catherine Hill pour la disqualifier de manière simpliste au milieu du bruit médiatique suscité par la pandémie de COVID-19.
Sur le web, trois interviews vidéos de Catherine Hill lui donnent le temps d'exposer ses propositions et ses critiques :
J'ai revu la section ci-dessous en essayant de synthétiser la chronologie des événements catastrophiques qui s'accumulent depuis le début de la pandémie de COVID-19. À l'échelle de la planète, Il s'agit de catastrophes qui tuent et jettent dans la misère des millions de personnes des classes populaires pendant que d'autres, minoritaires, s'enrichissent sur la bête. Ces catastrophes en cours sont toutes d'origine anthropique. Au même titre que l'accélération du réchauffement climatique, dont le caractère cataclysmique était déjà connu de toutes les autorités mondiales et de tous les médias avant 2020 : anomalies thermiques aux deux pôles froids de la planète, dont dépend directement, à la fois les flux océaniques (circulation thermohaline, etc.) et les flux d'air atmosphériques7). Acté avant 2020, ce dépassement de limite de ressources planétaires a été officiellement rejoint en avril 2022, par un nouveau dépassement de limite de ressources planétaires, le 6e sur un total de 9 : celui du cycle de l'eau douce…
Depuis la fin de l'hivers 2021-2022, les classes populaires subissent la catastrophe de la guerre économique mondialisée de l'OTAN contre la Russie, le plus grand pays du monde en superficie, dont les ressources sont essentielles pour la civilisation mondialisée contemporaine, et dont la dictature est subitement devenue moins acceptable que celles d'autres pays grands partenaires commerciaux, au point d'alimenter la guerre militaire par procuration sur le pauvre territoire ukrainien.
Mais dans une certaine mesure, on peut considérer que la 3e guerre mondiale contre les classes populaires a commencé avec le début de la pandémie de COVID-19 en mars 2020. Partout sur la planète en mars 2020 comme en mars 2022, on y retrouve en effet — parfois en miroir d'un pays à l'autre — les mêmes bourrages de crânes politico-médiatiques, les mêmes lavages de cerveaux idéologiques. On y retrouve le même mouvement de paupérisation agressive des classes populaires condamnées à user leur santé dans des conditions toujours plus mauvaises de travail et de subsistance, à cause de politiques publiques aux odres. On y retrouve la même pression des lobbies économiques, multipliant leurs bénéfices en spéculant de plus belle, tandis que l'inflation mondiale augmente fortement, au fur et à mesure des ruptures des chaînes d'approvisionnement en provenance des pays pauves ou de la Chine, au fur et à mesure des boycotts opportunistes et hypocrites et des guerres favorisées dans les pays fournisseurs.
En 2022, alors que la pandémie de COVID-19 était loin d'être terminée à cause de choix politiques funestes et à courts termes, et que les matières premières en provenance des pays pauvres étaient toujours en forte tension du fait de leur désorganisation sanitaire, le choix non démocratique par les dirigeants des pays de l'OTAN, de boycotter toutes les ressources de la Russie en faisant monter les sentiments nationalistes et bellicistes, revenait à choisir de :
En France, le premier confinement français du 17 mars au 10 mai 2020 et les mois qui ont suivi, ont provoqué un raz-de-marée sur les plateformes de commérage narcissiques que le marketing présente comme des "réseaux sociaux". Des millions de personnes au même moment, ont créé du contenu sur les mêmes sujets. Pour les agences de communication, — ces outils que les politiciens au pouvoir utilisent pour gouverner —, ces gigantesques flux de méga-données (big data) furent une bénédiction pour affiner les analyses prédictives psychologiques et comportementales des classes populaires…
D'où le succès du savant et patient travail de manipulation et d'usure psychologique pour faire accepter contre la science, à la population française qu'elle devait "vivre (et mourir) avec le virus"…
Synthèse de la politique sanitaire française contre l'épidémie de COVID-19 au 08/01/2022 (version PDF)
Un scénario de ce qu’aurait pu être une politique sanitaire digne au 21e siècle
(version PDF) :
Cette section n'est pas à jour par manque de temps.
L'épidémiologiste biostatisticienne et lanceuse d'alerte Catherine Hill s'exprime dans les médias :