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Pages Savoir > Lutte contre l'obscurantisme > Pandémie de COVID-19 et incurie sanitaire française...
Voir aussi la page "Services en ligne du web non globalisé" > Suivi de la pandémie de COVID-19
Voir aussi la page "Services en ligne du web non globalisé" > Pandémie de COVID-19 et sites web des autorités françaises
Synthèse de la politique sanitaire française contre l'épidémie de COVID-19 (version PDF)
France, pays très riches aux moyens considérables :
Une stratégie criminelle d’abdication dans la guerre contre la pandémie de COVID-19.
Inféodée aux lobbies économiques, une politique de collaboration avec l’ennemi viral SARS-CoV-2 :
France, pays très riche au leadership international :
Un scénario de ce qu’aurait pu être une politique sanitaire efficace au 21e siècle,
et respectueuse de la dignité humaine (version PDF) :
Depuis 2020, l'état français tue en laissant filer l'épidémie : N'acceptons pas l’inacceptable !
Cette page fait partie de la catégorie "Lutte contre l'obscurantisme" sous toutes ses formes, qu'il s'agisse de la lutte contre la désinformation conspirationniste ou contre la propagande de l'état français, bourrée d'idées simplistes, manichéennes et trompeuses voire volontairement fausses.
Ses objectifs sont multiples : dans le cadre de la pandémie de COVID-19, lutter contre le poujadisme intellectuel ("populisme"), les médias dits "alternatifs", les préjugés conspirationnistes, les plateformes de commérages narcissiques, les mouvements ésotériques ; déconstruire la stratégie sanitaire française criminelle et inacceptable du "Vivre (et mourir) avec le virus" ; restaurer la parole scientifique contre la propagande économique qui tend à la dévoyer ; se souvenir de la chronologie des événements pour ne pas s'habituer, et ne jamais tolérer l'inacceptable ; montrer par les sources officielles qui facilitent le travail historiographique, les décisions sanitaires prises par la voyoucratie inféodée aux lobbies économiques, toujours responsable mais jamais coupable1) de faire passer la santé publique au second plan derrière des intérêts économiques à très court terme jugés plus urgents, quoi qu'il en coûte en terme de crise économique et sociale à plus long terme.
Bilan mortel de l'incurie sanitaire française de la pandémie de COVID-19 au 15/01/2021 d'après les données insee.fr :
Dernière mise à jour : 20/01/2022 00:07 (voir les différences)
Ne pas oublier pour ne pas s'habituer, et ne jamais tolérer l'inacceptable !
Endossant la faconde grave et tribunitienne d'un chef de guerre, le lundi 16 mars 2020, le président de la république française, Emmanuel Macron, a déclaré : "Nous sommes en guerre. J'appelle tous les acteurs politiques, économiques, sociaux, associatifs, tous les Français à s'inscrire dans cette union nationale qui a permis à notre pays de surmonter tant de crises par le passé". Mais après nous avoir répété maintes fois que "il faut vivre avec le virus" – donc avec l'ennemi mortel désigné le 16 mars –, et avoir maintes fois répété contre toute évidence que "l'épidémie est sous contrôle", force est de constater que les autorités françaises si promptes aux références historiques appliquent une politique de collaboration avec l'ennemi viral plutôt qu'une politique de lutte et de résistance contre celui-ci.
Les populations des territoires français métropolitains et extra-marins traversent une catastrophe humanitaire et sociale qui rappelle furieusement la situation des pays pauvres marqués par la dictature chronique. Production de morts en séries par incurie des autorités conduisant à de multiples foyers de contamination au SARS-CoV-2 et renforcement de l'adaptation évolutive des mutants de ce virus à l'Homme. Contamination des personnes fragiles censées être protégées dans les EHPADs ainsi que dans les hôpitaux publics gérés par l'état français, avec une forte propagande visant à faire accepter l'idée que le plateau haut de contaminations et de décès serait normal.
Destructions d'emploi, chômage de masse, paupérisation gallopante des classes populaires, des étudiants, et de certaines professions sinistrées. Détournement massif de jeunes étudiants et de jeunes travailleurs de certains métiers dont le besoin social augmente du fait des départs en retraite. Destruction d'une grande partie du tissu associatif qui fonctionnait essentiellement grâce aux retraités bénévoles, et constituait une forme concrète et essentielle de la liberté et de la démocratie vécues. Délitement des relations sociales et repli sur le groupe familial et/ou communautaire sous influence des politiciens en campagne électorale sur les thèmes de l'extrême-droite chrétienne. Politique sanitaire reposant à la fois sur une stratégie d'attentisme sur fond d'espérances survalorisées (vaccins), et la promotion d'idées fatalistes associant fallacieusement les épidémies à des phénomènes météorologiques incontrôlable et imprévisibles. Dépressions et suicides de masse. Intimidations contre toute vélléïtés de résister aux lois d'exception provisoires, reconduites de manière indéfinie sous le vocable juridique d'état d'urgence sanitaire. Promotion gouvernementale de l'individualisme sur l'autel idélologique de la responsabilité individuelle remplaçant une politique de protection sanitaire collective qui serait une politique de Santé Publique digne de ce nom. Hausse des violences interpersonnelles, notamment intra-conjugales, et silence des autorités sur les violences policières, etc.
Afin de favoriser l'économie estivale, grand relâchement des gestes barrières accentuée par la communication cacophonique et contre-productive des autorités françaises sur la généralisation d'un apartheid sous forme de pass sanitaire. Le taux de prévalence étant bien plus haut qu'à l'été 2020, la contagieusité du variant delta du SARS-CoV-2 désormais majoritaire étant 1000 fois plus importante, et le laxisme sanitaire des autorités étant toujours le même qu'en 2020, le 2e rebond de l'épidémie de COVID-19 en France commence naturellement par les zones les plus touristiques, en particulier les côtes et les îles Guadeloupe, Martinique, Réunion et Corse, avant d'être propagée sans aucune résistance aux personnes non vaccinées sur l'ensemble du territoire.
Le concept de santé publique s'oppose à celui de santé privée, c'est-à-dire de santé individuelle. Cela fait longtemps que l'idéologie de l'action politique française relève de l'ultra-individualisme, y compris en matière de santé au travers des réformes successives de l'Assurance Maladie. L'épidémiologie est une branche de la médecine qui nécessite impérieusement que l'intérêt collectif passe avant les intérêts particuliers. Pendant les grandes épidémies, la Santé Publique devient en effet un concept éminément concret. Plus soucieuses des intérêts des lobbies économiques que de la santé du public, les autorités françaises ont pourtant choisi de ne pas chercher à endiguer la pandémie de COVID-19 même si cela signifie sacrifier des milions de personnes. Ce sacrifice de la population est rendu possible grâce à l'utilisation de différentes techniques comme le déni de la réalité, le négationnisme scientifique, le storytelling, le pourrissement de la situation (attentisme, largement utilisé depuis des années en matière de conflits sociaux) et la tactique du fait accompli, la promotion de l'espérance quasi-chrétienne en des jours meilleurs, la désignation de la réalité sous des termes fatalistes (mensonges et obscurantisme) pour dédouaner la culpabilité des responsables, la direction d'intention, etc. Au fur et à mesure de cette campagne funeste, le fameux "taux d'acceptation" de la population – si souvent prononcé dans les médias – est modifié négativement. En d'autres termes, ce qui était auparavant considéré comme anormal et inacceptable devient tolérable, banal et finalement quasi normal.
Cette section n'est pas à jour par manque de temps.
Annonces gouvernementales (dans l'ordre chronologique) :
Sous pression des lobbies économiques qui espèrent une rentrée 100% en présentiel, et après 14 jours de propagande non officielle intense, simpliste et manichéenne stigmatisant les soignants (source), le 12/07/2021, le président de la république annonce que les personnes hésitantes, vaccino-sceptiques ou anti-vaccins, c'est-à-dire un nombre très important de personnes en France, auront seulement 9 jours (21/07/2021) pour obtenir un passport vaccinal nécessitant 2 injections espacées d'au-moins 4 semaines, sous peine de commencer à subir une discrimination sociale commençant le 21/07/2021 par l'interdiction d'accès aux lieux de loisirs ou de culture qui regroupent plus de 50 personnes.
Par delà l'ostracisation d'une partie bien connue de la population française (≥10%) qui est en défiance permanente vis-à-vis de la science et de la médecine, les autorités françaises criminelles continuent de travailler l'opinion dans le sens d'un déni massif de la dangerosité de l'épidémie de COVID-19 en favorisant l'abandon total des gestes barrières entre personnes vaccinées. De surcroît, les autorités criminelles nationales comme locales ne remplissent pas leur obligation de moyens pour lutter contre la pandémie, notamment en terme d'équipements très simple des locaux en capteurs de CO2 pour éviter toute concentration au-delà de 800 parties par millions (abstantion de combattre un sinistre — article 223-7 du code pénal français).
Annonces gouvernementales (dans l'ordre antichronologique) :
Détails des annonces (dans l'ordre antichronologique) :
Repères temporels dans l'ordre chronologiques :
Annonces gouvernementales (ordre antichronologique) :
Cette section n'est pas à jour par manque de temps. L'épidémiologiste biostatisticienne et lanceuse d'alerte Catherine Hill s'exprime dans les médias :
assemblee-nationale.fr > Commission d'enquête COVID-19 (Vidéos des auditions) :
"Je ne sais pas si le patron des patrons a lu ou vu mon appel au président Macron à rouvrir rapidement les commerces, relayé sur entreprendre.fr ( 6 novembre dernier) et repris aussi par Sophie de Menthon, la présidente du mouvement Ethic, Croissance Plus et de nombreux sites d'information. Une chose est sûre, Geoffroy Roux de Bezieux est bien remonté à cheval. Et c'est heureux tant la situation des commerçants et indépendants devient délétère et ne peut entraîner qu'un effet de chaîne assez dévastateur sur l'ensemble de l'économie. D'ores et déjà, la baisse des commandes de 70 % enregistrée sur le marché automobile, suite à la fermeture des concessions, peut entraîner des fermetures de sites industriels. Ce n'est qu'un exemple sans parler des autres industries textiles, cosmétiques ou de l'ameublement N'hésitant pas à parler, dans un entretien au "Monde" (11/11/2020) de "tsunami économique si les magasins sont fermés en décembre", le président du Medef remet enfin les pendules à l'heure. Pour lui, dit-il : "les entrepreneurs et indépendants ont besoin d'anticiper et d'espoir pour vivre. Il y a un risque que cette colère se tourne vers le gouvernement." […] Le rôle des mouvements entrepreneurs est certes de négocier avec les pouvoirs publics ou les syndicats mais il est surtout de relayer afin de peser sur l'opinion et les gouvernants, notamment lorsqu'il y a urgence.